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Périodiques

périodiquesTous les fonds de périodiques

Parmi les actions de conservation et de diffusion du patrimoine du neuvième art engagées par la Cité internationale de la bande dessinée et de l’image figure la numérisation des titres de périodiques appartenant au patrimoine de la bande dessinée. Les titres suivants ont été numérisés dans le cadre de la coopération Pôle Associé avec la BnF, ils ont été versés dans Gallica vers laquelle nous vous dirigeons pour leur consultation en ligne. 

American illustré : revue publiée en 1907-1908, pour jeunes garçons, contenant des histoires inspirées par des thèmes américains tels que cow-boys et indiens, business-men, touristes américains à Paris mais réalisées par des auteurs français.

Âmes vaillantes : hebdomadaire catholique pour filles de 1937 à 1963 créé suite au succès de Cœurs vaillants.

La Baïonnette : publié de 1915 à 1918 soit 99 numéros.

Benjamin : hebdomadaire fondé par Jean Nohain en 1929, Benjamin connu 512 numéros avant d’être interrompu en aout 1939. Il reparu sous plusieurs séries dont une en zone libre sous la rédaction en chef d’Alain Saint-Ogan.

Cœurs vaillants : hebdomadaire catholique pour garçons publié de 1929 à 1963 qui propulsa le mouvement scout en France. Dans ses pages parurent les premiers travaux d'Hergé en France.

L’Écolier illustré : créé en 1890 par la librairie Delagrave, fondée en 1839 par Charles Delagrave, L'Écolier illustré est publié tous les jeudis. C'est le pendant populaire du périodique Saint‐Nicolas également édité par Delagrave.

L’Épatant : pour la période 1912 à 1917, soit 297 numéros du n°196 au n°466 et l’Almanach de 1917.

Excelsior Dimanche-Dimanche illustré : hebdomadaires publiés de 1923 à 1940. Dans leurs pages furent publiées les premières bandes dessinées françaises à bulles : Rigobert (Naurac), Potiron (Mourlan), Zig et Puce (Saint-Ogan).

Fillette : publié par la maison Offenstadt du 21 octobre 1909 au 8 mars 1942, Fillette, équivalent féminin de l’Épatant, connu un succès foudroyant dès sa première parution. Vendu 5 centimes, soit la moitié du prix de son concurrent La semaine de Suzette, il fut tout d’abord hebdomadaire, puis bihebdomadaire de septembre 1912 à aout 1914.

Les Grandes Aventures : publié par les éditions de Demain puis Théophraste Renaudot, du 26 septembre 1940 au 27 janvier 1942, les Grandes Aventures ne comptent que 70 numéros, grand format 28 x 38 cm. Se situant dans la continuité du fastueux Aventures, il est publié en zone occupée et fait paraître des récits illustrés, romans et nouvelles, contes, mots croisés, jeux…

L’Intrépide : créé en 1910 par les frères Offenstadt, L'Intrépide visait à concurrencer Le Journal des voyages. Hebdomadaire illustré, son prix de 5 centimes en 1912 passe à 30 centimes en 1920. Un numéro type de 1924 comporte 16 pages dont près de trois d'encarts publicitaires. De bonne rédaction et impression, son contenu se veut humoristique et relate des histoires de flibustiers, de chasseurs de trésors, d'apaches ou de trappeurs.

La Jeunesse illustrée : est un hebdomadaire pour la jeunesse édité par la Librairie Arthème Fayard publié du 1er mars 1903 à juin 1935, date de son absorption par Les Belles Images. C’est une des premières publications françaises pour enfants à avoir privilégié les récits en images sous forme de bande dessinée.

Lisette : revue pour jeunes filles, numérisée jusqu’à l’année 1940.

Mon Journal : publié par Hachette de 1881 à 1925, Mon journal s'adressait aux enfants de 5 à 12 ans et visait à fidéliser les plus petits avant leur abonnement au Journal de la Jeunesse, auquel collaborait les mêmes auteurs de texte et images. Il était composé principalement d'historiettes dues à des auteurs comme Marthe Bertin, Paul Souriau et illustré par Bayard, Christophe ou de La Nezière.

Musée des Familles : sous-titré « Lectures du soir », est l'un des tout premiers périodiques illustrés à bas prix du XIXe siècle à voir le jour en France. Son fondateur, Émile de Girardin, souhaitait en faire « un Louvre populaire », accessible aux familles modestes peu cultivées, plus attirées par les images que par les textes. C'est ainsi que le journal, qui a paru d'octobre 1833 à juin 1900, a publié, toujours de manière illustrée, d'innombrables articles étonnamment variés, ainsi que les premières versions de romans célèbres sous forme de feuilletons.

Le Petit Français illustré : publié par Armand Colin, de 1889 à 1905, était « le journal des écoliers et des écolières ». Ses objectifs étaient éducatifs : des romans à suivre, des nouvelles, des articles éducatifs, un peu de sport et sous le titre de Variétés, quelques jeux et problèmes amusants.

Pierrot : hebdomadaire pour jeunes garçons, numérisé jusqu’à l’année 1934.

Le Pierrot : journal hebdomadaire, paru entre 1889 et 1891, publiant essentiellement des dessins politiques et humoristiques en lien avec l’actualité de l’époque, il fut fondé et imprimé par A. Willette lui-même.

Psst…! : célèbre revue politique, l'hebdomadaire Psst…!, 4 pages, sans texte, fut fondé par les caricaturistes Forain et Caran d'Ache au moment de la révision du procès Dreyfus. Elle parut entre 1898 et 1899 et compte 85 numéros. D'un anti-dreyfusisme virulent, elle raillait Zola et défendait l'armée française. Elle cessa de paraitre à la fin de la révision du procès.

Le Rire : première série du journal humoristique publié par Félix Juven à partir de 1894.

Les Trois couleurs : de 1914 à 1917, soit 106 numéros.